le sujet:
Créer un pays, inventer des symboles, des signes (banderoles, drapeaux, (identités visuels) les inscrire dans un univers, trouver des origines.
DESSIN,PEINTURE,PHOTO OU VIDEO ( cela implique bien sur fabrication réelle si vous travaillez en photo ou vidéo)
-choix de couleurs, formes et matières
LE SYMBOLISME.
Créer un pays, inventer des symboles, des signes (banderoles, drapeaux, (identités visuels) les inscrire dans un univers, trouver des origines.
DESSIN,PEINTURE,PHOTO OU VIDEO ( cela implique bien sur fabrication réelle si vous travaillez en photo ou vidéo)
-réflexion
sur la création d'une autre civilisation
-construction d'une identité visuel
LE SYMBOLISME.
Entre 1886 et 1900, le Symbolisme trouva son aboutissement dans tous les domaines de la création.
La littérature exprima alors sa particularité, avant que ne le fissent ensuite la musique et les arts plastiques.
Ce mouvement né en France, gagna rapidement l’Europe, et l’Amérique.
La littérature exprima alors sa particularité, avant que ne le fissent ensuite la musique et les arts plastiques.
Ce mouvement né en France, gagna rapidement l’Europe, et l’Amérique.
A l’opposé de l’Impressionnisme, cette peinture rejette l’inspiration par la nature. Le Symbolisme ne s’adresse pas au regard de l’homme, mais a son esprit, et à l’imagination que ce dernier est à même de produire.
Les symboles sont imprégnés de sens qui ont évolué et se sont épanouis naturellement au fil du temps, alors que les signes sont des représentations graphiques consciemment choisies pour exprimer un sens, des créations finies.
Une troisième catégorie est celle des emblèmes, qui, dans leur fonctionnement, ont plus à voir avec les signes qu'avec les symboles_ bien qu'ils aient l'apparence de symboles.
Les symboles sont imprégnés de sens qui ont évolué et se sont épanouis naturellement au fil du temps, alors que les signes sont des représentations graphiques consciemment choisies pour exprimer un sens, des créations finies.
Une troisième catégorie est celle des emblèmes, qui, dans leur fonctionnement, ont plus à voir avec les signes qu'avec les symboles_ bien qu'ils aient l'apparence de symboles.
http://www.symbolisme.net/
LE FOLKLORE
Le folklore se construit d'un mythe, se peut être un matériau avec lequel on crée des formes diverses : croyances, pratiques, rituel, contes, légendes, objets…
C'est une histoire ayant pour but d'expliquer les mystères d'un monde, ses origines, ses valeurs, son sens, de situer les relations entre les hommes et les dieux.
Le mythe est basé sur des faits imaginaires non historique, transmis par la tradition et mettant en scène des êtres symboliques, des forces physiques, des généralités et permet de combler une lacune dans l'explication que l'homme a de son existence ou de l'univers tout entier.
En ce sens, le mythe est toujours à réinventer et à réinitialiser.
https://youtu.be/xyZ5vseBvl8
ARTISTE SYMBOLISTES:
GUSTAVE KLIMT
Gustav Klimt naîT le 14 juillet 1862 et meurt le 6 février 1918. Il est un peintre symboliste autrichien et l'un des membres les plus éminents du mouvement de la Sécession de Vienne. Klimt est connu pour ses peintures, ses murales, ses croquis et autres objets d'art. Le sujet principal de Klimt est le corps de la femme et ses œuvres sont marquées par un franc érotisme.
ODILON REDON
"LE CYCLOPE" 1914
Le thème funéraire est présent, mais jamais présenté comme une solution immédiate, il y a une part de mystère, ainsi que de mythologie, grâce à la présence du Cyclope, qui est une race de créature fantastique dans la mythologie grecque. Ce sont des géants n'ayant qu'un œil au milieu du front.
http://www.musba-bordeaux.fr/sites/musba-bordeaux.fr/files/odilon_redon-dossier_pedagogique.pdf
Odilon Redon, né Bertrand Jean Redon le 22 avril 1840 à Bordeaux et mort le 6 juillet 1916 à Paris. L’art de ce peintre symboliste et coloriste de la fin du XIX e siècle explore les méandres de la pensée, l'aspect sombre et ésotérique de l'âme humaine, empreint des mécanismes du rêve.
EDWARD MUNCH
la fille et les trois têtes d'hommes
la vigne vierge rouge
le cri
ARTISTES CRÉATEURS DE SIGNES
http://originedunmonde.com/
MICHELANGELO PISTOLETTO
L'exposition "Année 1, le Paradis sur terre" au louvre en 2013 consacrée à l'oeuvre de Michelangelo Pistoletto est placée sous le signe du "Troisième Paradis", symbole à trois boucles dont le premier cercle représente le paradis naturel et le troisième, le paradis artificiel . Le cercle du centre matérialise l'union des deux, maillon indispensable au changement de la société. Car pour M. Pistoletto, 2013 est l'année de la Renaissance, le passage dans une ère nouvelle où l'artiste doit jouer son rôle en mettant l'individu face à ses responsabilités en matière écologique, économique et politique.
OSKAR PERNEFELDT
https://vimeo.com/127694736
Un designer suédois a créé un drapeau censé représenter l’humanité toute entière, au cas où nous devions découvrir une nouvelle planète.
MICHELANGELO PISTOLETTO
L'exposition "Année 1, le Paradis sur terre" au louvre en 2013 consacrée à l'oeuvre de Michelangelo Pistoletto est placée sous le signe du "Troisième Paradis", symbole à trois boucles dont le premier cercle représente le paradis naturel et le troisième, le paradis artificiel . Le cercle du centre matérialise l'union des deux, maillon indispensable au changement de la société. Car pour M. Pistoletto, 2013 est l'année de la Renaissance, le passage dans une ère nouvelle où l'artiste doit jouer son rôle en mettant l'individu face à ses responsabilités en matière écologique, économique et politique.
Co-fondateur de l’Arte Povera, Michelangelo Pistoletto (né en 1933 à Biella, Italie) inaugure au musée du Louvre un nouveau cycle d’expositions d’art contemporain. Au-delà de la confrontation de son oeuvre avec les collections du musée, l’artiste participe à un programme de rencontres, débats et performances à l’auditorium et dans le jardin des Tuileries. L’oeuvre phare de M. Pistoletto se situe dans la cour Marly (aile Richelieu) et représente ce qu’il appelle le Troisième Paradis, synthèse entre les paradis naturel et artificiel (le monde que nous avons créé). Ce symbole qui reprend celui de l’infini, un anneau au centre en sus, se tient au-dessus d’une obélisque – symbole du pouvoir religieux et politique – mais recouvert ici de miroirs, symbole de sa fragilité. Le signe est recouvert de tissus, clin d’oeil à sa Vénus aux chiffons – devenue oeuvre emblématique de l’Arte Povera
https://vimeo.com/127694736
Un designer suédois a créé un drapeau censé représenter l’humanité toute entière, au cas où nous devions découvrir une nouvelle planète.
il a imaginé son drapeau pour représenter le plus fidèlement possible l’humanité avec un fond bleu pour l’eau, “sans laquelle aucune vie ne serait possible sur cette planète”, et sept cercles encastrés pour former une fleur, “symbole de la vie sur Terre”.
Le drapeau a été imaginé dans l’optique des voyages dans l’espace, “afin que les astronautes représentent bien davantage que leurs propres pays”.
L’une des images phares de la conquête spatiale est ce drapeau américain dressé sur la Lune par les astronautes de la mission Apollo 11.
Il sera même un des arguments utilisés par ceux qui doutent de cette prouesse spatiale (voir Sciences et Avenir n°647 de janvier 2001).
Mais les prochaines missions vers des planètes du système solaire ou au-delà risquent fort d’être le résultat de coopérations internationales.
Quel drapeau planter alors à l’arrivée ?
Et surtout le concept d’Etat a-t-il encore un sens à des milliards de kilomètres de la Terre ?
En créant un drapeau pour l’humanité, Oskar Pernefeldt, en fin d’étude au Beckmans College of design à Stockholm, en Suède a sans doute en partie répondu à ces questions.
Son projet, il l’a mené en sollicitant la participation de plusieurs entreprises privées et publiques dont la Nasa et de nombreuses personnalités.
AURELIE FERRUEL FLORENTINE GUEDON
http://ferruelguedon.com/dossierpdf.pdf
L’une des images phares de la conquête spatiale est ce drapeau américain dressé sur la Lune par les astronautes de la mission Apollo 11.
Il sera même un des arguments utilisés par ceux qui doutent de cette prouesse spatiale (voir Sciences et Avenir n°647 de janvier 2001).
Mais les prochaines missions vers des planètes du système solaire ou au-delà risquent fort d’être le résultat de coopérations internationales.
Quel drapeau planter alors à l’arrivée ?
Et surtout le concept d’Etat a-t-il encore un sens à des milliards de kilomètres de la Terre ?
En créant un drapeau pour l’humanité, Oskar Pernefeldt, en fin d’étude au Beckmans College of design à Stockholm, en Suède a sans doute en partie répondu à ces questions.
Son projet, il l’a mené en sollicitant la participation de plusieurs entreprises privées et publiques dont la Nasa et de nombreuses personnalités.
AURELIE FERRUEL FLORENTINE GUEDON
http://ferruelguedon.com/dossierpdf.pdf
Nous sommes tous membre d’un clan, à commencer par notre famille. Les artistes font de leurs familles respectives, en Vendée et en Normandie, un terrain d’investigation et d’expérimentation. Florentine Guédon a reçu l’enseignement de la couture par sa grand-mère, tandis qu’Aurélie Ferruel excelle dans le maniement de la mini-tronçonneuse grâce à son père. Drôle d’alliance que celle de la couture et du bûcheronnage. Une alliance rendue possible par la transmission de savoir-faire, d’une génération à une autre. La notion de transmission (pratique, orale, écrite ou intuitive) au sein d’un groupe s’inscrit au cœur de nombreux projets. En 2013, elles entreprennent la réalisation d’une photographie de famille, l’union de leurs deux familles, où chacun porte une coiffe signifiant à la fois une personnalité et une compétence (Sisi La Famille). Quels objets nous représentent le mieux ? Comment et pourquoi ? Une photographie résulte d’une mise en scène réalisée au beau milieu d’un champ normand. Les coiffes sont comprises comme de véritables sculptures, qui vont ensuite être mises en scène en couronnant des structures en bois brut. La performance, forme vivante, donne lieu à la sculpture. Les deux pratiques sont indissociables, l’une engendre l’autre et vice versa. Les vêtements et les objets créés pour chaque projet ne sont pas les simples accessoires d’une mise en scène ou d’un rituel, ils sont envisagés comme des sculptures à part entière. En ce sens, elles activent Temps Libre (2013-2015), une performance conçue comme un temps de travail durant lequel elles tissent une tapisserie. Harnachées d’un vêtement-outil, elles sont assises de par et d’autre d’un métier à tisser fabriqué de manière artisanale.
La visée anthropologique pose aussi la question de l’exotisme et des objets issus des rites cultuels. De nombreux objets, de provenance africaine, asiatique ou sud-américaine, sont sculptés et réalisés à des fins cultuelles et ne sont pas intrinsèquement envisagés comme des œuvres d’art. Pourtant, les Occidentaux y voient une dimension artistique, magique et mystique forte. Du point de vue occidental, les objets incarnent l’Autre et détiennent une aura exotique. Sans quitter l’hexagone, le milieu rural, les pratiques culturelles et les traditions populaires recèlent une dimension exotique cependant dépourvue du charme des contrées lointaines. En explorant les processus de transmission, Aurélie Ferruel et Florentine Guédon, artistes-ethnologues, travaillent aussi la valeur et la portée de l’objet cultuel (masque, attribut, vêtement, blason, accessoire). Pour cela elles hybrident les cultures, les récits et les pratiques.
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