dimanche 28 janvier 2018

EMPREINTES/ FOUILLES/ FICTIONS

Je vous propose de réfléchir à la limite entre fiction et réalité, grâce à une production d'objet de curiosités:
1) qui rappellerai d'ancienne civilisation (fictionnel)
ou
2) qui reproduirai les codes d'une civilisation contemporaine (plus prés du réel)

* ce travail est a pensée comme une fouille archéologique, vous fabriquerez les objets de votre propre fouille.
Il va donc falloir d'abord pensée une civilisation et ce qu'elle laissera derrière elle!

* Il faudra de même pensée à une restitution de ce travail est donc à un dispositif de monstration de ses objets.

- Fabrications d'empreinte, d'impressions sur tissus, de fossiles et de petits objet divers qui ensemble construisent un univers imaginaire reprenant les codes des fouilles archéologique

Les artistes, comme les archéologues, ont coutume de chercher et creuser sans savoir exactement ce qu'ils vont trouver. Et aucune trouvaille n'est définitive, chacune menant à composer et recomposer des histoires et l’Histoire.

RÉFÉRENCE

Lien pour lire Artistique et archéologie de Philippe Bruneau et Pierre-Yves Balut
:https://www.yumpu.com/fr/document/view/16655623/artistique-et-archeologie-anthropologie-de-lart

http://journals.openedition.org/archeopages/415

ANTONY GORMLEY


une vue de l'exposition "Cast" 2016 galerie Alan Christea  Londres
SOUL
" soul"1982

antony gormley, thaddaeus-ropac, galerie, art, scumpture, paris, solo-show
" Kouroî"

L’homme et le réseau

Cependant, l’artiste ne cesse de clamer qu’il veut réconcilier l’art avec le corps social, revenir à ce lien que la modernité a rompu par son abstraction, son minimalisme et au final son élitisme.Les sculptures de Gormley sont pourtant bien des “corps abstraits”, des Kouroï, qui ne figurent plus des dieux, des principes de la nature, mais l’idée que l’artiste se fait de la place de l’homme dans le monde physique et tout spécialement telle que la physique atomique se la représente.
L’Homme ou plutôt le corps humain sans action, ni affective, ni sociale, appartient pour le sculpteur contemporain anglais au réseau, aussi bien le réseau des autres corps humains dans les relations sociales que le corps humain tel qu’il est pris dans le champ de la physique subatomique. Gormley va néanmoins encore au delà en évoquant les tibétains qui voient la conscience comme logée dans l’infinité obscure de nos propres corps.

La Matrice

Cette démarche aboutit à des formes verticales, soit massives et cubiques, soit au contraire de structure filaire presque issue de l’imagerie populaire de Matrix. Pour Gormley nous appartenons à des matrices, sociales, telluriques ou subatomiques.
Les « corps abstraits » de Gormley ne représentent rien, ne racontent rien, sinon leur présence physique, mais tout de même réinterprétés suivant la conception matricielle de Gormley, attendent donc impassibles notre interaction.

Autel et totem

Ces “corps abstraits”, ces masses verticales sont comme des points finis qui marquent l’espace et figent le temps. C’était une des fonctions des Kouroï  qui n’ont jamais été des représentations de personnes mais des offrandes aux dieux ou des bornes érigées en souvenir d’un défunt pour lutter contre le temps de l’oubli en nous conviant à nous arrêter en un point spécifique de l’espace : l’autel.

ICHAM BERRADA
Natural Process Activation #1
Action, 2011
Déversement à même le sol de 300Kg de poudre de fer et 10L d' acides dans le but de la formation de cristaux d' hématite et ferrite dans 25000 ans


Nourri d’une double formation artistique et scientifique, le travail de Hicham Berrada associe intuition et connaissance, science et poésie. Il explore dans ses œuvres des protocoles scientifiques qui imitent au plus prés différents processus naturels et/ou conditions climatiques. 
Véritable théâtre alchimique, Présage, est le fruit d’une performance dans laquelle l’artiste associe dans un bécher différents produits chimiques. Grâce à ces manipulations, il fait émerger un monde chimérique qui ne cesse de se métamorphoser. Ces transformations de la matière, qui sont filmées et simultanément projetées à l’écran, plongent le spectateur dans un monde chimérique aux couleurs et aux formes fascinantes. 
En effet, l’artiste conçoit ces paysages éphémères comme de véritables créations picturales. « J'essaye de maîtriser les phénomènes que je mobilise comme un peintre maîtrise ses pigments et pinceaux. Mes pinceaux et pigments seraient le chaud, le froid, le magnétisme, la lumière, » affirme t-il. 
Du laboratoire à l’atelier, de l’expérience chimique à la performance, l’artiste crée un univers personnel, lié à la pratique expérimentale, jouant de ses codes et protocoles. Il invite, par exemple, avec L’arche de Miller, à faire l’expérience d’une présence inédite des énergies et des forces émanant de la matière. Véritable tranche de nature, l’œuvre qui imite au plus près les processus naturels et conditions climatiques, invite à découvrir, dans un paysage presque vierge, une infinité figée, un monde en attente d’existence.
Son travail transporte ainsi le visiteur dans un ailleurs, un monde à la fois vivant et inerte, proposant de réfléchir sur les notions de création, nature et matière. « Tout est contenu dans la nature, tout est donné par elle et, en science comme en art, on ne fait rien d’autre que de ré-agencer ce qui existe », conclut Hicham Berrada.                                                                                               

Mouna Mekouar

Le déjeuner sous l'herbe de Daniel spoeri

© David Boeno

Le 23 avril 1983, l’artiste Daniel Spoerri organise dans les jardins du domaine du Montcel à Jouy-en-Josas un festin baptisé le « Déjeuner sous l’herbe à l’occasion de l’enterrement du tableau-piège ». Ce jour-là, environ 80 personnes, illustres membres de l’élite culturelle, se retrouvent pour participer à une performance de Eat-Art, concoctée par l’artiste signataire de la déclaration constitutive du Nouveau Réalisme, puis membre actif du groupe fluxus. L’enchaînement des événements, et son squelette dramaturgique, est le suivant : pendant que les convives dégustent un menu à base d’abats, une grue pelleteuse creuse une tranchée de la même longueur que la table, perpendiculairement à celle-ci. Après le plat de résistance, les mangeurs sont invités à détacher le plateau de leur table et de la déposer au fond de la tranchée, en prenant soin de ne pas déplacer les assiettes, couverts, bouteilles, etc. Les tables sont ensuite recouvertes de terre, la fosse entièrement remblayée. Le repas poursuivit ensuite son cours, les convives enchaînant avec le fromage et le dessert, le tout proprement arrosé, une pluie fine et pénétrante forçant au repli dans le salon du château. L’assemblée se quitte en convenant de revenir bientôt, pour y ouvrir un chantier archéologique original que l’artiste rêvait, non sans jubiler, comme les « premières fouilles de l’art moderne », comme s’il s’agissait d’une civilisation disparue…


Fouille de 2010
Fouille de 2016

https://www.dejeunersouslherbe.org/fouille-2016/

François Daireaux:
(cliquez içi) pour voir la vidéo 

Empreintes de l’air, moulages du temps, relevés de mémoire
L’air ou cette « haleine du temps [1] » qui dit la vie, le temps ou ce souffle immatériel qui invente la mémoire, les deux dans l’œuvre de François Daireaux comme mode et médium d’un travail en perpétuelle évolution, en constante délocalisation, en infatigable réappropriation de matériaux, de formes et d’espaces. Et pour conjuguer cette obsessionnelle quête esthétique avec la singulière conquête éthique de ce qui dans le monde peut paraître aussi simple qu’un ready-made trouvé à nos pieds ou aussi évident qu’une mise en scène surgissant à hauteur de regard, l’artiste ne cesse de jouer de la modulation, du passage et donc de la variation. C’est en effet, au fil d’une œuvre étirée, déployée, dépliée, qu’il nous rappelle avec évidence que « la variation est un dialogue permanent entre l’identité et l’altérité : le même et l’autre [2] » mais aussi la signature et le mode de pensée de cet œuvre-là.
Il ne faudrait toutefois pas croire que ce mode opératoire caractéristique du work in progress de François Daireaux procède d’une quelconque volonté artistique de construire un genre, ni même d’une ambition esthétique où le formalisme aurait la place primordiale. Non, il s’agirait plutôt de reconnaître dans la démarche de l’artiste celle sous-jacente d’un anthropologue – artisan qui en tant qu’anthropologue vit, crée, pense en artiste, et en tant qu’artisan est cet « artiste en petite main [3] » qui fabrique, troue, découpe, coud, colle, assemble…, trouve formes et outils dans son atelier aussi réel que nomade, et ce au gré de ses nombreux voyages aussi bien en Algérie, au Maroc qu’en Bulgarie, Roumanie, Inde, Chine, Ouzbékistan…
En effet, si à la question « qu’est-ce qu’être un artiste », Bruce Nauman répondait : « C’est avant tout avoir un atelier [4] », François Daireaux, lui, pourrait ajouter : « C’est avoir le monde pour atelier. » Parce qu’il délocalise son espace de création – plus spécialement dans le monde méditerranéen et asiatique –, parce qu’il puise dans ces ailleurs, gestes, couleurs, bruits et matériaux, ses dessins comme ses sculptures, ses vidéos ou ses photographies révèlent et déclinent admirablement ce que le regard de l’artiste a su voir surgir, ici et maintenant. François Daireaux sait en effet, très justement, extraire là et ailleurs, ce qui de l’insignifiant ou de l’insolite l’arrête, l’interroge, lui qui nous dit toujours « attendre quelque chose ». Attitude éthique de retrait du photographe, mode exploratoire d’un sculpteur en errance, mais geste fondateur d’un œuvre toujours en devenir dont l’esthétique sensible ne cesse de se nourrir de l’incroyable « musique » de la matière-monde. Ainsi l’atelier-foyer de François Daireaux est-il aussi bien là-bas que dans « ce transport », cet acte sensible et réflexif qui lui permet de transformer un lieu, une situation, un objet, une action, un geste en « paysage de la psyché […], en empreinte de l’intimité [5] ».
(...)

MARC PESSIN
Ces 41 titres ont tous trait à la Civilisation Pessinoise, monde imaginaire, dont la langue et l’écriture, la dynastie, les moeurs sont inventés et étudiés par le graveur; monde pourtant vraisemblable dans la mesure où la réalité se greffe sur la vérité historique et géographique des lieux.
S’agissant de livres entièrement conçus et réalisés par le chroniqueur -si l’on excepte les collaborations ponctuelles des poètes- nous n’avons pas cru utile d’indiquer systématiquement, à chacune des étapes de fabrication, l’intervention de Marc Pessin. Il suffira de savoir que les gravures (essentiellement des « tablettes » de papier estampées en caractères pessinois, moulages des vestiges découverts lors des fouilles dans le massif de la Chartreuse) sont toutes l’oeuvre de Marc Pessin, tirages compris.
BANCQUART (Marie-Claire). La fissure.- 1990.
Couverture peinte. Traduction du texte de M.C Bancquart en langue pessinoise sur dix-neuf tablettes gravées et estampées à sec par Marc Pessin
BERAL (Niti), alias Albertini.- Tablettes pessinoises: l’écriture et la langue: Bibliothèque des Charbinières, Saint-Laurent-du-Pont. Massif de la Chartreuse. Volume 64. Archive. Bloc 142. Case 17.-1965. Vingt-quatre tablettes en langue pessinoise estampées à sec, calligraphiées par Marc Pessin. Exemplaire unique.
BUTOR (Michel) et PESSIN (Marc). – Tablettes pessinoises: fouilles de Villette les Fagots, plaine de Saint-Laurent-du-Pont: mars-avril 1972.
BUTOR (Michel). -Dans le secret des Dieux (18 juillet 1988; texte inédit, calligraphié par Marc Pessin).
CIGEX (Morame), alias Marc Pessin. – Tablettes pessinoises: Bibliothèque des Charbinières, Saint-Laurent-du-Pont. Massif de la Chartreuse. 1948. Vingt-trois tablettes en langue pessinoise gravées par Marc Pessin. Exemplaire unique, calligraphié par Marc Pessin.
DRUMCLIFFE (John B.), alias Jean-Pierre Spilmont. – Extrait de la communication de John B.Drumcliffe, Pr à la Northwestern University, Illinois, USA. Colloque international de Toronto, mai 1962. Treize gravures de Marc Pessin estampées à sec. Exemplaire unique, calligraphié par Marc Pessin.
GARCIA (Michel), alias Marc Pessin. Symbolisme des empreintes pessinoises en pays de Chartreuse au Xème siècle. -1965-1988. -Quinze gravures de Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm) alias Marc Pessin. – Actes pessinois (fin du Vème siècle).-1965. Signes estampés. Commentés et calligraphiés par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. – Actes pessinois (fin du Vème siècle). -1971. Estampage à sec en langue pessinoise. Commentés et calligraphiés par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. – Actes privés de l’époque vandale: fin du Vème siècle : clichés radiographiques avec des rayons très mous. -1967. Commentaires, dessins et calligraphies de l’auteur. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. 52 sceaux de rois pessinois : de l’an 488 à l’an 788.- Cinquante-deux sceaux estampés et frottés à l’or. Commentés et calligraphiés par Marc Pessin. Exemplaire unique
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. 12 fragments d’os et d’ivoire pessinois : Moulage en papier. Fouille du 17 juin 1974 au 5 septembre 1976. Grotte des Charinères, Saint-Laurent-du-Pont. Massif de la Chartreuse.Douze fragments en langue pessinoise estampés à sec. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. Fouille de la ferme Margot, Villette, près de Saint-Laurent-du-Pont. Tablettes pessinoises.-1970. Huit tablettes en langue pessinoise. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. Le site Miribel-Ratz. Campagnes de fouilles. Septembre 1965-Mai 1971.Deux tablettes en langues pessinnoise. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. Les archives d’un prêtre pessinois, grand lamentateur de la déesse Aimeen.1979. Caractères pessinois recopiés à l’encre de chine par Marc Pessin. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. Sceaux pessinois.1987. Dix-neuf sceaux estampés à sec par Marc Pessin. Commentés et calligraphiés par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. Sceaux pessinois. Bibliothèque des Charbinières, Saint-Laurent-du-Pont.Quatorze sceaux estampés à sec. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. Sceaux pessinois. Fouilles du champ Rousset.1965. Onze tablettes en langue pessinoise estampées et calligraphiées par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. Tablettes pessinoises. Bibliothèque des Charbinières. Saint-Laurent-du-Pont. Massif de la Chartreuse.1962. Six tablettes en langue pessinoise estampées. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. Tablettes pessinoises. Fouilles de l’hôpital de Saint-Laurent-du-Pont.1977. Douze tablettes estampées à sec en langue pessinoise. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin. Tablettes pessinoises. Saint-Laurent-du-Pont. Massif de la Chartreuse. Moulage en papier pressé. 1988. Dix-huit tablettes en langue pessinoise estampées en couleurs et rehaussées d’or. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
NISSEP (Carm), alias Marc Pessin et BERAL (Nit), alias Albertini. Actes privés de l’époque vandale. 1973. Textes, dessins, et calligraphie de Marc Pessin. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). Actes de vente pessinois.1960. 12ff. en quatre feuillets en tryptiques. Couverture peinte et estampée. Textes, dessins, et calligraphie de Marc Pessin sur Vélin d’Arches estampés à sec. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). Actes de vente pessinois.1962. Une gravure en inox sur la première page. Commentés et calligraphiés par Marc Pessin.
PESSIN (Marc). 12 tablettes pessinoises.1981. Douze tablettes en langue pessinoise estampées à l’or et à l’argent. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). La bibliothèque des Charbinières. Saint-Laurent-du-Pont (Isère). Massif de la Chartreuse.1980. Vingt-cinq tablettes en langue pessinoise estampées à sec. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). Les fouilles de l’hôpital de Saint-Laurent-du-Pont.1989. Neuf tablettes estampées à sec. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). Prières personnelles de Yesoug, grand lamentateur de la prêtresse Asnatée.1991. Cinq partitions à l’encre de chine par Marc Pessin. Calligraphiées par l’auteur. Exemplaire unique
PESSIN (Marc). Répertoire de 50 sceaux de rois pessinois (de l’an 781 à l’an 1072).1989. Estampés à l’or sur papier par Marc Pessin. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). 7 tablettes pessinoises. Bibliothèque des Charbinières. Saint-Laurent-du-Pont. Massif de la Chartreuse : signes dans les langues pessinoises.Huit tablettes en langue pessinoise estampées à sec. Texte calligraphié par Marc Pessin.
PESSIN (Marc). 6 tablettes pessinoises.1987. Six tablettes en langue pessinoise estampées. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). Tablettes pessinoises.1988. Douze tablettes en langue pessinoise estampées et frottées à l’argent.
PESSIN (Marc). Tablettes pessinoises. Bibliothèque des Charbinières. Saint-Laurent-du-Pont.1991. Douze tablettes en langue pessinoise estampées et frottées à l’or et à l’argent. Texte de I.J. Gelb calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). Tablettes pessinoises. Fourvoirie. Les Provenches. Saint-Laurent-du-Pont. Massif de la Chartreuse.1962. Vingt-trois tablettes en langue pessinoise estampées et frottées à l’or sur papier. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). Tablettes pessinoises. Saint-Laurent-du-Pont. Bibliothèque des Charbinières.1959. Quatre tablettes en langue pessinoise estampées à sec. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). Tablettes pessinoises. Saint-Laurent-du-Pont. Massif de la Chartreuse. Moulage en papier pressé.1987. Seize tablettes en langue pessinoise estampées. Texte calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). Tablettes pessinoises en Chartreuse.1952. Huit tablettes en langue pessinoise estampées. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). 24 tablettes pessinoises.Vingt-quatre tablettes en langue pessinoise estampées. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc) et alii. Divers aspects de la civilisation Pessinoise.1990. Calligraphié par Marc Pessin. Exemplaire unique.
PESSIN (Marc). Tablettes Pessinoises relatant la condition des femmes. Une photographie d’un champ de fouilles reproduite en photocopie.
SALAGER (Annie). -Edit aux jardiniers. Communication faite au Centre National d’Etudes et de Recherches sur la Civilisation et la Culture Pessinoise. (C.N.E.R.C.C.P.) le 6 septembre 1990. Transcription en pessinois estampée à sec sur papier de chine par Marc Pessin.
PESSIN (Marc). Une fosse rituelle livre des inscriptions. Les larges ceintures pessinoises sous le règne de Trumentu (581-586). Haches et poignards pessinois découverts sous le règne de Heritum. Nomades pessinois et montagnes de Chartreuse. L’art animalier pessinois et les Scythes.
Goll (Yvan). Raziel (Poème extrait de « Les cercles magiques).
PESSIN (Marc) et MOLLIN (Joseph). La grotte des Eugles. Prairie de l’Oursière. Massif de la Chartreuse.1969. Onze tablettes pessinoises estampées à sec de Marc Pessin. Exemplaire unique.
PESSUS (Marcus), alias Marc Pessin. Chartes latines du VIème siècle de l’ère chrétienne.1957. Calligraphie de Marc Pessin. Exemplaire unique.Fouilles Marsal
Signe pessinois
Galerie Marc Pessin
https://marcpessin.com/fouilles-marsal/